Gerard Pansanel / Antonello Salis duo
Voilà plusieurs décennies qu’en concert ou sur les albums Calypso, Cinecittà , Beatles Stories, Voices, Nino Rota / Fellini, Navigators & Electrizzante, le languedocien Gérard Pansanel et le sarde Antonello Salis, tous deux natifs du signe des poissons, ont uni leurs tempéraments méditerranéens et généreux au travers d’une musique colorée et vigoureuse, tout au long d'un parcours où il se sont produits ensemble ou séparément dans toute l’Europe, au Japon, USA et Canada, au Brésil, en Afrique, en Chine et au Cap Vert, aux côtés d' Enrico Rava, Chick Corea, Pat Metheny, Lester Bowie, Paolo Fresu, John Abercrombie, Archie Shepp, Don Cherry, Billy Cobham, Dino Saluzzi, Michel Portal, Steve Lacy, Nana Vasconcelos, Ed Blackwell, Aldo Romano, Arild Andersen, Philip Catherine, Henri Texier, Richard Galliano, Anthony Braxton, L’Orchestre National de Jazz (ONJ) Claude Barthelemy, Billy Hart, Ron Mc Clure, Doudou Gouirand, Cecil Taylor, Phil Manzanera, Joey Baron, Louis Winsberg, Neneh Cherry ...
- 7 albums ensemble, en duo ou en groupe avec Paolo Fresu, Enrico Rava, Aldo Romano, Furio di Castri, Andre Minvielle, Lionel Suarez, Doudou Gouirand, Michel Bénita, Michel Godard, JJ Avenel, Joël Allouche, Yves Robert, Michel Marre, Patrice Héral …
Ils interprêtent avec beaucoup de liberté sur scène les morceaux de leurs différents albums .
Jazz in Time - (C Loxhay)
“ Réunion de fortes personnalités, ils délivrent une musique baignée de passions tumultueuses et de soleil généreux.”
Jazz Magazine - (Claude Oberg)
“ Lyrisme, assurance : un duo qui, de bout en bout, maintient l’auditeur sous le charme.”
Paroles et Musique - (Franck Tenaille)
“ Cette familiarité de l’échange, du métissage, tant dans la note que dans le style, on la repère dans la sensibilité de leur jeu, dans la générosité de leur inspiration, et aussi dans cette facétie à donner à leur jazz latin une tonalité festive populaire. Ensorcelant de bout en bout par son intimisme coloré, ce LP prouve en outre, s’il en était besoin, les talents de mélodistes de nos deux compères: “Paparazzi”, “Cinecittà” et “Fortaleza” étant d’indéniables tubes potentiels.
On ne peut que recommander ces 45 minutes d’images sonores, concoctées par nos Nino Rota du jazz”.
Mario Luzzi - Splash records -
“Antonello Salis, l’art de l’invention, la sincérité de la création instantanée...”
Daniel Soutif -
“ Entre le piano et l’accordéon, l’improvisation la plus libre, et le souvenir de fêtes villageoises en Sardaigne, Antonello Salis ouvre une voie nouvelle à la musique européenne”.
photo Charles Camberoque 87